La connaissance de soi

La connaissance de soi

La semaine passĂ©e, j’ai Ă©tĂ© malade. Cela faisait longtemps que je n’avais plus Ă©tĂ© KO comme ça, avec 3 jours passĂ©s au lit en mode zombie. L’idĂ©e populaire est que j’ai eu la grippe Ă  cause d’un coup de vent, lors de la fĂŞte d’anniversaire de mon mari, sur une jolie terrasse ensoleillĂ©e en bord de mer… Le problème, c’est que je ne crois plus aux coups de vent qui assomment et rendent malades les humains. Ni aux vilains virus qui sautent d’une personne Ă  l’autre. 

Ici, dans le sud, dès que le vent devient frais, c’est l’alerte rouge. Les Ă©coles ferment Ă  la vue du premier flocon, mĂŞme s’il fond dans l’heure. Moi, je me rappelle de la piscine de la Dodaine oĂą l’on se rendait Ă  pied depuis l’école chaque semaine. Qu’il vente, qu’il pleuve ou qu’il neige, nous faisions ces deux kilomètres, peu importe ce que montrait le thermomètre. J’avais des longs cheveux et jamais le temps de me les sĂ©cher. Ă€ en croire mes italiens, c’était ma mort assurĂ©e. Bizarrement, personne ne tombait malade. Puis, quand j’ai lu l’incroyable livre « Man’s search for meaning Â» de Viktor E. Frankl, j’ai Ă©tĂ© encore plus Ă©bahie des Ă©normes rĂ©sistance et rĂ©silience du corps humain. Ces hommes dĂ©charnĂ©s, Ă©reintĂ©s et sous-alimentĂ©s qui faisaient des kilomètres dans la neige, dans des chaussures trouĂ©es, dĂ©fiaient toutes les statistiques. Leur esprit maintenait leur corps en vie.

Pour en revenir au petit coup de vent sur ma terrasse ensoleillĂ©e, il s’agit tout bĂŞtement d’un empoisonnement. Quand le corps se tord de douleurs, augmente sa tempĂ©rature et te fait vomir, c’est qu’il est activement en train d’essayer d’éliminer quelque chose qui ne devrait pas se trouver lĂ . C’est tellement logique que, une fois que tu le vois pour ce que c’est, il devient impossible de croire encore Ă  tout ce qu’on nous raconte. Bien sĂ»r, j’ai dĂ» ouvrir mon esprit pour enfin voir ces Ă©vidences et mon Ă©veil de kundalini m’y a très concrètement aidĂ©e : puisqu’on m’avait menti depuis 40 ans sur la nature mĂŞme de l’existence, on pouvait m’avoir menti aussi sur notre corps, son fonctionnement et notre mĂ©decine. Sujets qui sont très vite devenus ma deuxième obsession, après la spiritualitĂ©.

Depuis mon Ă©veil spirituel, j’ai compris toute l’importance du savoir et de la connaissance de soi. Il n’y a que par lĂ  que nous pouvons connaĂ®tre le bonheur, la libertĂ© et la paix que nous dĂ©sirons tant. Quand j’ai dĂ©couvert le non-dualisme et le Vedanta, dĂ©but 2023, je venais de prendre un sacrĂ© tournant sans le savoir et ma vie a Ă©tĂ© transformĂ©e très rapidement. Puis, quand mon maĂ®tre est arrivĂ© cet Ă©tĂ© (« L’élève Ă©tant prĂŞt Â»), lui et ses enseignements incroyablement riches, ma connaissance et mon expĂ©rience quotidienne ont pris une profondeur que je n’aurais jamais imaginĂ©e possible en si peu de temps.

La connaissance de soi est donc un outil incontournable ; d’une part, pour vivre une vie heureuse et, d’autre part, afin de rĂ©vĂ©ler notre vraie nature spirituelle et nous libĂ©rer de la prison de l’esprit. Le Vedanta est cet outil et je ne peux pas ne pas l’utiliser dans mes propres enseignements. Quand un instrument a Ă©tĂ© peaufinĂ© par les esprits les plus lumineux depuis des milliers d’annĂ©es et libère des hommes depuis tout autant d’annĂ©es, inutile d’aller chercher ailleurs. 

Si tu souhaites transformer ta vie et t’élever spirituellement, tu sais où me trouver…

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