La guerre est une histoire d’ego


Je garde toujours un oeil de loin sur l’actualité car même si je ne suis pas de ce monde, je suis toujours dedans. C’est comme ça que j’ai constaté que l’Ukraine n’était déjà plus à la mode, nous sommes maintenant au Proche Orient, en Israël et cie.

Si tu es comme moi, tu sais que tu ne peux absolument pas avoir confiance en ce que racontent les médias. Tu sais aussi qu’une poignée d’hommes mégalomanes ont accéléré le pas vers leur objectif de prise de pouvoir mondial depuis la plandémie et que ces guerres font partie de leur grand jeu d’échecs. 

Mais, sont-ils réellement coupables ? Qui appuie sur la détente ? Celui qui a décidé du plan ? Le président du pays qui entre en guerre ? Le général qui donne l’ordre de tirer ? Ou celui qui exécute l’ordre ?

Dans une conception du monde lucide, c’est ce dernier.

S’il n’y avait plus de soldats, il n’y aurait plus de guerres. De la même manière que s’il n’y avait plus de policiers au service de nos gouvernements, il y aurait nettement moins de crimes et de violences. S’il n’y avait eu personne pour conduire les trains d’Auschwitz, ou allumer les chambres à gaz, on ne parlerait pas de ces 6 millions de juifs et Anne Frank serait une inconnue.

« Suivre les ordres » n’est pas une excuse mais un manque de conscience. Si les gens arrêtaient de suivre les ordres, à tous les niveaux d’autorité, nous nous en porterions mieux. Et ça, Gandhi l’avait bien compris. Cette réalisation est tellement puissante qu’elle est une menace très concrète pour tout gouvernement. Il cherchera à tout prix à nous en détourner, notamment en nous faisant croire le contraire.

Ensuite, si je pose mon regard depuis l’extérieur du monde, là où je suis un être spirituel, je ne peux voir que de l’insanité. Et, comme le dit si bien Un Cours En Miracles : il n’y a pas de niveaux supérieurs ou inférieurs en matière de folie. Depuis cet endroit où le monde est un mirage, je ne peux voir que ma propre démence à travers ces soldats qui s’agitent et qui tuent. Je ne peux voir que ma propre violence héritée et téléchargée dans mon système égotique. Je ne peux voir que ma propre culpabilité dans ces projections extérieures.

Heureusement, le monde n’existe pas. Et même si mes frères fous décident de faire sauter la planète demain, je serai toujours là à observer ces histoires d’ego qui dérapent. Jusqu’au moment où la lumière, notre lumière, sera à ce point forte que l’irréel disparaîtra à jamais et que nous rirons ensemble de cette Joie pure qui nous habite.

Contacte-moi, si tu as peur de Vivre…


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