En discutant avec une amie je me suis rendu compte à quel point nous sommes parfois endoctrinés. De génération en génération, on dirait que tout a été fait pour que les gens oublient à quel point ils sont puissants et à quel point ils contrôlent leur vie.
Nos moindres gestes sont encadrés par des lois et règlements, nous culpabilisant complètement s’il nous venait à l’idée de sortir du cadre.
Cette amie, parce qu’elle suit le système en place, se retrouve à vivre avec 650€ d’allocation mensuelle pour deux personnes adultes.
Ce même système qui te fait croire que tu dépends d’eux et que tu n’as aucune autre possibilité.
Je me souviens, quand je vivais encore en Belgique, j’avais décidé de faire une pause. J’étais jeune maman, je ne voulais ni travailler pour un patron, ni me mettre à mon compte, ni toucher quelconque allocation de chômage. Je voulais tout simplement être une femme au foyer, élever mon petit garçon, pour un temps.
Quel choc quand on m’a répondu : « Madame, ce statut n’existe pas ! Soit vous êtes un travailleur, soit vous êtes un demandeur d’emploi ». Les bras m’en sont tombés ! Une société qui ne reconnaît même pas le droit à ses citoyens de ne « rien faire ».
Les lois liberticides ne datent pas de la crise actuelle. Les lois n’ont jamais représenté un code d’éthique non plus, la preuve avec la ségrégation que nous vivons aujourd’hui entre ceux qui ont accepté la piqûre et ceux qui ont refusé.
Une poignée d’hommes décident de notre sort sans même nous consulter et servent toujours les mêmes intérêts : les leurs.
La vérité c’est que nous sommes des êtres souverains, et que nous pouvons décider pour nous-mêmes. Pour cela il faut passer des lois aux droits humains et divins.
Il n’y a absolument rien qui empêche mon amie d’entreprendre diverses actions afin de gagner de l’argent. Cela commence par sortir des cases dans lesquelles ces institutions l’ont mise et par comprendre qu’il y a 1000 et une façons d’attirer à soi l’abondance.
Cela commence par la désobéissance.
Il n’y a que comme ça que l’humain retrouvera sa dignité et sa souveraineté.
« Que tous les hommes ici présents sachent que je, Henry Thoreau, ne désire pas être considéré comme un membre de cette société à laquelle je n’ai jamais souscrite ». (extrait de Désobéissance Civile d’Henry David Thoreau 1862)
« La désobéissance civile est le droit imprescriptible de tout citoyen. Il ne saurait y renoncer sans cesser d’être un homme ». (Gandhi)